Le Président du REJEL Aboubacar Bobel Fofana plaide le Général Mamadi Doumbouya de permettre à Kassory Fofana, malade en prison daller se faire soigner à létranger et daccorder la liberté provisoire à lhonorable Amadou Damaro, Mr Diané et Cie. Il la dit à travers une déclaration dont la rédaction du site dispose une copie.
Lisez ladite declaration ci-dessous :

« C’est l’une des promesses du Chef de l’Etat le Général Mamadi Doumbouya, lors de la prise du pouvoir par le CNRD et l’organisation de la concertation avec les forces vives de la nation, de rectifier les erreurs du passé, la participation de tout le monde dans toutes les étapes du processus de transition sans exclusion. Malheureusement, nos parents et nos frères sont exclus depuis la prise du pouvoir. Ils sont toujours malades et incarcérés à la maison centrale, sans oublier nos frères de médias fermés qui sont aussi en chômage.

Dans son discours de remise du rapport final des assises nationales, le père de la nation le Général Mamadi Doumbouya a réitéré son engagement de traiter tous les guinéens aux mêmes pieds d’égalité et qui se battra pour l’avenir de la jeunesse Guinéenne.

Je suis convaincu que le Chef de l’Etat le Général Mamadi Doumbouya, est un homme de grand cur qui est incapable de faire du mal à son autrui. En revanche, il a toujours promis de résoudre les problèmes posés par la jeunesse. Aujourd’hui, cette jeunesse supplie et plaide le Général Mamadi Doumbouya de libérer ses parents alités et emprisonnés d’aller se faire soigner à létranger et de revenir servir le pays. Cest très difficile de vivre loin de ses parents très malades en prison.
Mon Général, la jeunesse vous accompagne, mais c’est difficile de soutenir quand nos parents malades croupissent en prison et surtout quand ils bénéficient d’une autorisation d’aller se soigner mais sans succès.

C’est pourquoi, je plaide le Général Mamadi Doumbouya de revenir sur son meilleur sentiment, de libérer nos parents malades de prison pour aller se soigner et de revenir continuer la procédure judiciaire pour la manifestation de la vérité ».
Mariame Soumah