Faire appel est le recours qui reste au pool d’avocats de l’UFDG. Ce qui est déjà envisagé. A défaut d’obtenir par la justice la réouverture de son quartier général et de son siège, le parti va devoir attendre que l’Etat change d’avis. C’est-à-dire que celui-ci décide enfin de faire partir les agents de sécurité qui assiègent ces deux lieux.
Depuis le lendemain de l’élection du 18 octobre dernier, tout est de plus en plus tendu entre l’UFDG et l’Etat. Le parti a non seulement son QG et son siège fermés de force mais aussi plusieurs de ses responsables en prison. C’est le cas de Gaoual, de Cherif Bah, de Cellou Baldé et d’Abdoulaye Bah.