L’imminence de l’intervention militaire de la CEDEAO, soutenue par la France, pour libérer et réinstaller le Président Bazoum est indéniable. Les éléments suivants démontrent clairement cette situation préoccupante :
- Déploiement massif de troupes : Pas moins de 30 000 soldats de la CEDEAO sont maintenant pleinement déployés aux frontières du Niger, prêts à agir.
- Force blindée considérable : Un impressionnant contingent de 450 véhicules blindés a également été acheminé, signe que l’opération est prête à faire face à toute résistance.
- Services de renseignements en action : Les services de renseignements de la CEDEAO sont déjà actifs sur le territoire nigérien, collectant des informations cruciales pour le succès de l’opération.
- Puissante flotte aérienne : Une flotte aérienne impressionnante, comprenant une centaine d’avions de chasse, d’hélicoptères de combat et d’avions de transport de troupes, est en état d’alerte dans les pays voisins, tels que le Bénin, la Côte d’Ivoire, le Sénégal et le Nigéria.
- Cibles identifiées : Les cibles de l’intervention sont clairement identifiées, montrant une planification minutieuse.
- QG de commandement opérationnel : Le quartier général de commandement est déjà opérationnel, coordonnant l’ensemble de l’opération.
- Autorisation de lancement donnée : Le « GO AHEAD » a été donné, signifiant que l’opération est sur le point de commencer.
Le communiqué récent de la junte, lu tardivement hier, reflète la peur et la panique des putschistes. Ils semblent désormais compter uniquement sur la protection des populations de Niamey, ce qui est paradoxal puisque leur devoir premier est d’assurer la sécurité de ces mêmes citoyens. La situation semble tendue, et l’intervention imminente de la CEDEAO et de la France pourrait être la seule solution pour rétablir la stabilité au Niger.
Dr Mohamed Yasser